Merci pour ton aide Balian,
1. La FNQ n’est pas au courant du dossier.
2. Entre usagers nous nous connaissions, mais pas au point d’entretenir des relations durant notre hibernation. Donc, toutes activités en groupe sont difficiles à organiser.
3. Il n’existe pas vraiment d’autres endroits autour du lac où nous rendre.
4. J’ai pensé au choix de « l’endroit moins discret », mais je n’ai pas les moyens de joindre les usagers de la plage.
5. Comme tu dis, nous manquons d’organisation.

Je pense que la première étape devrait être de rejoindre la FQN. C'est peut-être pas l'organisme le plus militant au monde, mais ils ont quand même beaucoup d'expérience et ils devraient être de meilleur conseil que moi. De plus, ils peuvent aider avec l'organisation, aider à faire passer les mots d'ordre, etc. De plus, ils ont une certaine crédibilité pour parler aux autorités du parc.

Rumeurs:

Il semble qu'il y aurait eu arrestation de 2 personnes par les policiers en fin de semaine passés...C'est ce qu'un ami ma raconté avoir vu...il a déguerpi aussitôt qu'il a vu les policiers avec les Gardien du parc interrogeant un couple d'habitué....reste à voir pourquoi ils ont été arrêté....

Voici la réponse de la sépaq. Il reste que la plage est fermée...

J’ai procédé aux vérifications requises la semaine dernière. Notre objectif de base était et demeure que la clientèle se conforme aux activités autorisées dans les lieux autorisés. Il s’avère qu’il y avait des sentiers illicites via la 220 (un moyen de ne pas payer le droit d’accès obligatoire) et une plage non officielle utilisée par des naturistes et situé à proximité d’une sentier familial reliant le camping à la plage aménagée du secteur Fraser. Notre objectif de départ est d’assurer la protection du milieu naturel (ces usagers endommageaient par le piétinement et transportaient des tables de pique-nique – les services sanitaires sont également inexistants dans ce secteur).

Voici mes constats :

ü Les travaux réalisés dans le secteur de la plage illicite ont été réalisés de façon adéquate c'est-à-dire, en utilisant des résidus de bois déjà coupée à d’autres fins afin de fermer les sentiers illicites et les lieux d’accès de la plage non autorisée (les arbres coupés avaient moins de 10 cm);
ü Par contre, à proximité de la route 220 (à la hauteur du chemin des Bûcherons) c’est effectivement 8 arbres sains (de 20 à 25 cm de diamètre) qui ont été abattus afin de procéder à la fermeture des sentiers illicites. Ce procédé est totalement inacceptable dans un parc voué à la conservation. Il s’agit d’une erreur monumentale faite à partir d’une bonne volonté du personnel. Comme directeur, j’en assure une responsabilité totale et sans faux fuyants. Soyez assuré toutefois que les personnes concernées ont été rencontrées et que des mises au point ont été faites. Une telle situation ne devrait pas se reproduire. Donc il s’agit d’une grossière erreur d’aménagement que je voudrais bien réparer bien que cela soit impossible. Par contre, nous nous engageons à replanter des arbres afin de compenser cette erreur.

Je vous suis reconnaissant d’avoir porté à mon attention cette problématique inacceptable.

Pierre Dépelteau
Directeur des parcs nationaux
du Mont-Orford et de la
Yamaska
Tél: 819-843-4545 poste 425
depelteau.pierre@sepaq.com
www.sepaq.com

donc c'est mort ??

merci !