vaut mieux le regretter que d'en avoir envie
de "moi-même" ou peut-etre aussi de quelqu'un d'autre :DD

Serge a écrit:

"Au moment où l'on s'engage vraiment d'une façon complète et définitive, la providence se met elle aussi en mouvement. Tout concourt à aider celui qui s'est engagé et toutes sortes de choses - qui sans cela ne seraient jamais passées - surviennent."

D'après Goethe

tiens, Goethe aussi était au courant de ces phénomènes quasi paranormaux?
Pas plus tard que l'été dernier, j'ai pu encore vérifier toute la force et l'étendue de ce que Goethe appelle ''providence'' avec l'aménagement de la plage naturiste sur la Jacques-Cartier.

C'est exactement ça: toutes sortes de choses - qui sans cela ne seraient jamais passées - surviennent
J'ai tout reçu, le meilleur et le détestable dans un très court laps de temps mais j'en suis sorti gagnant.

Je me suis beaucoup interrogé là dessus ces derniers mois, c'est drôle que tu arrives avec ça aujourd'hui....
Si l'on essuie des coups durs lors de notre engagement tout en recevant l'aide de la providence pour nous éviter le pire, est ce à dire que notre engagement est valable et viable, à long terme?
ou si au contraire, ces coups durs inusités sont là pour nous signifier qu'il vaut mieux renoncer à notre engagement?

Ôsoleil:
"Si l'on essuie des coups durs lors de notre engagement tout en recevant l'aide de la providence pour nous éviter le pire, est ce à dire que notre engagement est valable et viable, à long terme?
ou si au contraire, ces coups durs inusités sont là pour nous signifier qu'il vaut mieux renoncer à notre engagement?"

Bonne question et je suis pas sûr qu'il existe une réponse définitive. Arnaud Desjardins dirait qu'il faut tout accepter. On dit que rien n'arrive par hasard mais est-ce vrai? Est-ce nécessaire/utile de se poser la question? Plutôt agir du mieux qu'on pense/peut devant les événements et voir le résultat: s'il est à notre convenance, en jouir; sinon passer à autre chose qui nous procure du plaisir.
La vie est courte et les possibilités de jouissance tellement multiples. Personnellement je me pose peu de question. Il y a bien des chances qu'on se pose beaucoup de questions pour lesquelles il existe effectivement des réponses mais que notre cerveau ne serait pas capable de comprendre. Je préfère consacrer mon temps à la jouissance du beau et du bon, une fois terminé les obligations du quotidien. Il faut dire qu'on vit encore dans les relents d'une société judéo-chrétienne qui fait de l'effort, de l'obstacle le prérequis du bonheur, qu'il faut mériter. Je n'y crois pas. Par contre je crois en un effort juste et raisonnable, sinon je passe à autre chose. Ceci dit, quelqu'un connaît LA réponse à la question à laquelle je suis bien conscient de ne pas avoir répondue.

Parce que tu connais en plus Arnaud Desjardins?! Décidément, faut qu'on se rencontre le printemps prochain si tu veux bien, on a assurément des tas de sujets passionnants sur lesquels échanger.

Tu prêches à un converti tu sais, moi et l'effort ça fait deux.
L'effort c'est le temps et l'énergie dépensés pour quelque chose d'obligatoire quand on fait les choses par passion cela s'appelle plaisirs.Je ne suis nullement du genre a m'acharner bien longtemps sur un obstacle, j'y vois le signe d'une défaite annoncée.
Je suis tout a fait d'accord pour dire que le hasard n'existe pas, il faut en chercher les causes dans l'inconscient, et c'est bien pourquoi je posais initialement cette question.

Ma réponse quoiqu'il en soit je l'obtiendrai l'été prochain sur le terrain, les forces éthériques auront bougé et j'aurai la sagesse de voir et d'accepter humblement le message s'il s'avérait négatif,  je te tiendrai au courant, ainsi que tous les membres le temps venu.

PERCEPTION...

Ceux qui croient au hasard se diront chanceux ou malchanceux, ceux qui n'y croient pas y verront une prédestinée.

Et certains retrouvent  du plaisir dans l'effort alors que d'autres y voient une corvée. Au fond l'important est d'y trouver une satisfaction, un " plaisir ". Recherche ultime de chaque être humain, inconsciente ou non.

Jean

"La vie est comme l'éclair fugitif, son éclat dure à peine le temps d'être aperçu... Alors, à quoi bon tourmenter son existence?"

Li-Tai-Pé

Tiré de la BD "Blake et Mortimer. Les 3 formules du professeur Sato." (tome 1) de E. P. Jacobs

"Ceux et celles qui ne réservent pas quotidiennement un peu de temps pour leur santé devront un jour consacrer beaucoup de temps à leur maladie."

Abbé Kneipp

"Si quelqu'un désire la santé, il faut d'abord lui demander s'il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Alors seulement il est possible de l'aider."

Hippocrate

Pour mettre un peu de chaleur dans nos cœurs, un peu d'humidité dans nos yeux par ce temps un peu frisquet :)

Yoco  

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"J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé"

Voltaire

Cette citation de Voltaire c'est la première que j'ai retenu (j'ai pas trop de mémoire) quand j'étais ado avec presque en même temps celle de Bardot:
- J'ai appris dans la vie qu'il faut vivre comme tout le monde en étant comme personne

Ces 2 énoncés, l'air de rien, ont forgé une partie de ma personnalité émergente.

La foule hurlait: "Mort aux cons!"

Et de Gaulle de répondre: "Vaste programme...."

Tiré de: "Le Bouquin des méchancetés et autres traits d'esprit" de François Xavier Testu

"C'est une folie de haïr toutes les roses parce que une épine vous a piqué, d'abandonner tous les rêves parce que l'un d'entre eux ne s'est pas réalisé, de renoncer à toutes les tentatives parce qu'une a échoué...

C'est une folie de condamner toutes les amitiés parce qu'une vous a trahi, de ne croire plus en l'amour juste parce qu'un d'entre eux a été infidèle, de jeter toutes les chances d'être heureux juste parce que quelque chose n'est pas aller dans la bonne direction.

Il y aura «toujours une autre occasion, un autre ami, un autre amour, une force nouvelle. Pour chaque fin il y a toujours un nouveau départ...»

" (Antoine de Saint-Exupéry) "  

:paap:

N'oubliez pas que la pudeur sert de bouclier contre les regards impurs. Et quand l'impur n'est plus, que devient la pudeur sinon une souillure de l'esprit ?

-Le Prophète (1923)
de Khalil Gibran