On dit qu’acheter c’est voter.
Tous nos choix de consommation ont un impact sur l'environnement et sur la société. Consommer de façon responsable, se caractériser comme un «consomm’acteur», c’est assumer totalement ce pouvoir que chacun de nous a de modeler le monde à l'image des choix qu'il fait au quotidien.

On peut choisir d'acheter ou de boycotter un produit pour toutes sortes de raisons: contribuer à protéger l'environnement, encourager la production agricole biologique et la pêche au thon qui respecte les dauphins, ou bien montrer son désaccord avec le travail des enfants et employés sous payés dans le tiers-monde ou le sort des animaux utilisés en laboratoire. L'achat local, le transport en commun pour contrer les changements climatiques. La liste est longue.

L'achat éthique était une notion peu connue il y a une vingtaine d'années. Pour la vaste majorité la notion d'achat éthique a commencé par la campagne pour du café équitable, mais tout cela demeurait relativement marginal. Peu de gens auraient pu imaginer à l'époque que l'ampleur du mouvement forcerait un jour bien des entreprises sans morale à changer leurs habitudes en profondeur.

Lorsque vous découvrez une marque ou une boutique, votre premier réflexe est-il de chercher sur quelles valeurs est fondée l’entreprise ? Le pays d'origine ?
Cela permet de savoir sur quels principes reposent la fabrication, (la vente également) des produits et quels sont les différents engagements de la marque auprès de leurs fournisseurs et de leurs clients. 
Si l’on y parle d'écologie, d’éthique et de santé, c’est généralement bon signe, sans être une garantie absolue pour autant.
Un beau discours officiel peut en cacher un autre beaucoup moins reluisant.

Bonne nouvelle, au Canada les champions de la consommation responsable sont les Québécois et les Britanno-Colombiens. En effet, ils sont les plus portés à choisir ou à boycotter un produit pour des raisons éthiques.

J'ai voté pour souvent. Je favorise les boutiques indépendantes (comme les librairies où maintenant, j'évite royalement Renaud-Bray et Archambault). Côté nourriture, j'en suis encore à l'achat en fonction de la teneur de la bouffe ou du prix (sauf récemment pour la viande où je fais affaire avec une compagnie qui distribue des produits locaux et dont les animaux sont élevés naturellement).

Côté transport en commun, je l'utilise uniquement si ma destination se trouve à plus de 30 minutes de marche. En-dessous de ça, je marche (à Montréal, avec le bus, vaut mieux marcher, c'est tout aussi rapide). Idéalement, si j'ai un boulot en dehors du centre-ville, je compte me trouver un logis à proximité pour aller au travail à pied.

Nene si je suis un naturiste et j'apprécie la nature je ne suis pas nécecerement écolo. Il est vrais que j'évite de jeter mes détritus un peut partout. En foret il m'arrive de jeter mes cœurs de pommes ou autre bouf (petit morceaux) mais seulement ce qui peut ce décomposer facilement. Je me dit ça se décompose et ça nourrie les animaux. Mais je ne jette rien là ou il peut être vue des autres. Je me dit si j'aime voir la nature au naturel les autres aussi ils ne sont pas obliger de voir mes trognons de pommes.

De plus en plus je tente d'acheter local ou au pire canadien.

Je trouve important de préserver nos emplois et de s'assurer d'une traçabilité de nos produit.  De plus nous assurons d'une certaine qualité en achetant le plus localement possible.

Ensuite côté environnemental c'est bon puisque qu'il y a moins de transport à faire!

Pour tout ce qui n'est pas de la nourriture, je ne fais pas vraiment attention. 

Par contre pour l'épicerie, je fais attention à ce que j'achète et évite la nourriture transformée quand je le peux.  Durant la belle saison, je visite régulièrement les marchés publics et encourage ma nièce qui a un petit jardin et des poules.  Ces produits ont tellement un meilleur goût que ce que l'on peut trouver dans les grandes surfaces. Je suis un peu maniaque du recyclage aussi; ça fait au moins 25 ans que j'ai une boîte de compost à la maison.  Ma famille m'associe un peu à Poppa dans La p'tite vie :).    

Puisque je suis en banlieue d'Ottawa, le transport en commun n'est pas très efficace à moins d'aller travailler au centre-ville avec un horaire régulier.  Donc, étant à la retraite, je n'ai pas à m'y rendre.  Cependant le choix de notre dernière maison était liée à sa proximité avec les magasins et services du coin.  Donc, tout ce que j'ai besoin est à moins de 25 minutes de marche.

Un produit réutilisable peut-être un peu surprenant, le papier hygiénique lavable:
https://mamanconsomme.com/2016/08/11/teste-le-papier-hygienique-reutilisable-4moustiques/

En envoyant mon message précédent je me suis demandé si ça pouvait être vrai, si ce n'était pas une fausse nouvelle, avec toutes les apparences du vrai, qui circule sur le net et que l'on rapporte, comme je viens de le faire?

D'apres moi c'est un vrai produit c'est comme les couches lavables pour les bébés. Pas pour moi en tout cas

La comparaison avec les couches lavables est bonne et rend la chose crédible. En fait j'espère que c'est vrai. Comme on dit, on n'arrête pas le progrès.