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voici l'article écrit

Rien sur les épaules. Ni pression, ni stress, ni vêtements. Au domaine East Haven Sun Club, à Casselman, l'air est léger.

Sur le bord de la piscine, deux couples discutent tranquillement entre eux. D'autres se font bronzer. Deux copines, à la roulotte, préparent la collation de l'après-midi. Bientôt, on va travailler aux préparatifs du Noël des campeurs.

Ici, tous s'adonnent aux plaisirs du camping estival, mais dans leur plus simple appareil. Le East Haven Sun Club est un des rares campings naturiste de la région, situé à une trentaine de minutes d'Ottawa.

« Nous sommes tous égaux et c'est ce qui me plaît. Je me sens aussi connecté avec la nature », confie un des membres du camping.


Dens gens de partout et d'âges variés y viennent le temps d'un week-end, d'une semaine ou d'un été, laissant tomber cravate et, du même coup, conventions sociales pour s'adonner au naturisme, en toute simplicité et dans le respect.

« Pour moi, ça représente l'acceptation de soi. Rapidement, tu comprends que le corps n'est qu'une façade. Tu apprends à voir au-delà pour mieux apprendre à te connaître et mieux connaître les autres », lance une femme accompagnée de son mari.

« Ha, ce qu'on est bien quand on est dans son bain », chante à côté une dame dans la soixantaine, assise sur le bord de la piscine, les pieds dans l'eau et le visage vers le soleil.

À l'abri des préjugés

« Ce sont les cinq premières minutes qui sont les plus difficiles. Mais personne ne te juge ici. Tu deviens vite à l'aise, si bien que tu ne peux plus t'en passer. Il n'y a rien comme le sentiment de sentir le vent sur sa peau », raconte une femme devenue récemment adepte du nudisme.

Les caravaniers qui écoutent la discussion acquiescent.

Un d'entre eux pointe une roulotte du doigt.

« Le couple qui est installé juste là est nouvellement membre ici. La première fois qu'ils sont venus, la femme a mis deux jours à sortir de la roulotte. Elle était au départ effrayée par l'idée de se mettre nue. Mais une fois sortie, elle a adoré. Ils reviennent d'ailleurs nous rejoindre demain », raconte l'homme.

Effectivement un bon petit article. Pis en page deux en plus !

Les deux couples qui discutaient dans la piscine bien c'était nous, La Douce et moi et un couple d'amis J-L et Lise. Le journaliste notait avec rapidité les informations que nous lui transmettions. La majorité des détails viennent de nous quatre.

Au fait, nous avons bien ris, il c'est pointé à East-Haven pour demander à la proprio (Yogi) s'il pouvait faire un article sur le camping. Yogi lui a fait faire un tour rapide du camping en cart de golf , la pédale au plancher comme d'habitude pour le ramener à sa voiture. Le journaliste lui a ensuite demandé s'il pouvait allé parler à quelques membres pour recueillir leurs impressions sur East Haven. Yogi lui a dit qu'il n'était autoriser que dans la section de la piscine et qu'il devait être nu pour entrer à la piscine! Le jeune homme dans la mi-vingtaine n'avais jamais essayé la nudité publique et c'était évident en le voyant arriver avec son I-Phone d'une main et sa petite serviette avec laquelle il essayait de se cacher. Il était vraiment mal à son aise surtout qu'à ce moment la il y avait une trentaine de personne de personne à la piscine. Il est entré rapidement dans la piscine et il y est demeuré à peine une trentaine de minute ...

lol pov jeune hihih

peut-être le reverrez vous mais sans ipod et sans se cacher - sait-on jamais ;)

c bien quand même qu'il y est de la bonne pub

...et encore mieux qu'il n'ai pas laissé des préjugés tenaces prendre le dessus sur les propos qu'il a recueilli.
Preuve de professionnalisme... qu'on espère il ne perdra pas.

Gardez son nom! Il pourrait être celui qui diffuse des messages...

Je l'ai invité à participer à une piscine à vagues de ONNO cet automne et il semblait intéressé à venir voir ça. Je dois le contacter en septembre. Je lui ai aussi envoyé un courriel pour le remercier et le féliciter pour son travail.

Oui, les articles sympatiques à la cause sont assez rares, alors ça mérite d'être souligné... et les liens avec ce journaliste doivent être maintenus.