lollll

j`adore vos réponse...
je ne sais sais pas si nous sommes drogué.... mais on quitte bientôt pour passé près de 5 mois tout nue en Floride.... ;)

Étant un tout nouveau débutant, je dirais non. J'aime être nu, mais la vie de "textile" ne m'horripile pas pour autant. Je reviendrai en discuter dans quelques années et on verra si cela a changé!

Oui c'est presqu'une drogue quand arrive les journées chaudes, si je suis retenu par une quelconque activité ces jours la, je deviens en manque et de mauvais poil.

Le reste du temps, non pas drogué du tout, je m'en fous.
En fait pour tout dire, je suis drogué au soleil, a la chaleur.

Surement une sérieuse habitude et un besoin grandissant de trouver / créer les occasions de rester nu.

Les vacances c'est NU que je veut els vivres maintenant.

J'ai toujours adoré la chaleur du soleil et l'eau, plage. . . donc Oka, Cayo largo et autres sont un besoin aussi.

Je me suis posé la question de puis un bon moment et j'en suis venu à la conclusion que sans être une drogue c'est devenu un besoin.

Le bien-être, la liberté surtout que me procure être au naturel, est devenu avec le temps le critère le plus important dans mes choix de vacances dans le sud.

Je suis accro, même que dans l’avion m’amenant à bon port je m’imagine déjà rendu et la douce chaleur m’envahi déjà en fermant bien les yeux.

Le premier contact que j’ai avec la plage au naturel est pour moi le même sentiment qu’un enfant qui après sa bonne action attend impatiemment sa récompense.

Sentir les rayons chauds du soleil sur mon corps nu me rend fébrile. J’apprécie ce moment, je ferme les yeux l’espace d’un moment et je rends grâce à cette chance que j’ai de vivre ces moments. Pendant mes vacances à chaque jour je prends un temps d’arrêt pour une communion avec la nature.

Pour celui, celle qui connaît Cayo Largo, je m’éloigne et allongé sur les rochers blancs, sur mon paréo rien au monde n’est mieux que ça.

Oui je suis devenu accro et heureux de cette dépendance. Si aujourd’hui je pouvais m’étendre au soleil j’en serais le plus heureux mais nous sommes en automne sachant que dans quelques semaines je retournerai sur mon île me fait sourire et prend rendez-vous avec le soleil fin nov. à C Largo

Le même sentiment m'anime quand je suis au naturel peu importe l'endroit où je suis.

Hasta luego

Moi, c'est exactement la meme chose...maintenant, je choisis mes criteres de vacances en fonction de pouvoir faire du naturisme...Je suis présentement a un mois de mon depart pour Cayo Largo et je m'imagine continuellement etre labas en train de marcher nus sur la plage...J'ai la tete completement envahie par cette pensée....La plages et la chaleur du soleil... j'en suis totalement dépendant....

Quelle belle dépendance celle ci sans fumée, ni maux de tête :)

Un petit verre de vino avec ça :bounce:

Tinto / rocío / blanco

Hasta luego :thumbsup2:

Bonjour a tous,pour moi aussi c est un critere de voyage et ayant cessé de fumer depuis 18 mois ca me permet d aller a cayo largo pour profiter de cette douce dépendence!j y serai a partir du 16 dec.

Hier après les quilles à Laval, autour d'une table chez  " Tim ". Un de nous racontait combien il était chanceux au casino, nous relatant les façons intelligentes de jouer pour que cela demeure du jeu et ne devienne pas compulsif. De ce sujet, un du groupe invoqua à la blague si le naturisme pouvait devenir " compulsif ", une sorte de drogue quoi ? Nous avons rigolé de la chose, mais n'en reste pas moins que lorsque nous pratiquons ou vivons une activité quel qu'elle soit, nous pouvons devenir en quelque sorte
" accro ". Prenons l'exemple de l'activité physique, le gym entre autres, j'ai été longtemps sans pouvoir m'en passer, il a suffit d'une blessure en ski l'hiver dernier pour briser le cycle, car il m'était impossible de faire certains mouvements avec mon épaule droite. Je suis demeuré tout de même actif heureusement. Alors pour moi du moins le naturisme est devenu une pratique je dirais quotidienne, n'ayant pas d'obstacle, liberté d'être nu à la maison, dans le jardin, pas aujourd'hui évidemment :lol: et au chalet. Même le fait de pratiquer certaines activités naturistes, comme hier avec les quilles ou la piscine peu importe, nous développons un manière de vivre, particulière bien sûr diront certains, mais je m'en fout, je vis selon mes aspirations.
Alors je m'imagine mal devoir cesser de vivre en naturiste, à moins que quelque chose d'imprévisible me contraigne à vivre dans un autre cadre.

Bien sûr que la vie nous amène forcement à devoir se vêtir, pour bien des raisons. Mais nous rêvons tous d'une vacance sans vêtement où il ferait bon ne pas à avoir, pour un certain temps du moins, à se préoccuper de les enfiler.

Jean

Une drogue? Peut-être pas jusque là mais le plus souvent possible quand même et c'est évident que ça influence le choix des vacances.

Pas encore une drogue mais c'est en train de le devenir .Je profite de toutes les occasions ou je peut être nu et mes choix de vacances sont de plus en plus en fonction du naturisme .

Mieux vaut " tarre " que jamais :lol:

Jean

Chaque fois que je peux être nu je le suis.

Oui dans le sens que j'y développe une accoutumance et ca m'en prend toujours plus. Si j'irais dans le sud, je considèrerais prioritairement des destinations ou on retrouve des resorts naturistes