merci de vos commentaires Jean et Tararre, moi depuis l'an dernier j'ai des envies de révolution je ne vous le cache pas. Le niaisage a assez duré, faut que les choses bougent!
Je ne veux pas effaroucher personne, je sais que je peux être un peu extremiste mais je suis franchement consterné de voir que non seulement rien n'a avancé dans le domaine depuis que je suis impliqué socialement dans la vie naturiste mais pire encore; ça recule!
Faut inverser la vapeur a tout prix tandis qu'il est encore temps, la morale se durcit de plus en plus.

comme chantait Dutronc: Les gens sont fous, les Temps sont flous

Oui, je suis aussi d'accord, l'essentiel est d'augmenter l'offre. La demande actuelle est loin d'être négligeable et la «promotion» du naturisme ne sert à rien tant qu'il n'y a pas plus de lieux de pratique. L'organisation de sites isolés est le point de départ le plus simple, mais comme je l'avais souligné, il existe d'autres possibilités, comme l'achat de terres et peut-être aussi des ententes avec des organismes de conservation. L'essentiel c'est de sortir du modèle extrêmement lourd du «centre» multiservices.

Une idée comme ça: demander à un étudiant en sociologie (ou autre domaine) de faire sa thèse de maîtrise sur le déclin du naturisme au Québec et sur ce que sa recherche lui suggérerait comme solutions. Mais il faudrait que ce soit une demande officielle de NDQ ou de la FQN ou des 2 conjointement. Si une telle thèse se faisait on n'en verrait probablement pas le résultat avant 4-5 ans. Je ne sais pas si ça aiderait mais ça ne pourrait pas nuire. Ca ajouterait aux autres solutions/tentatives qui se feraient sur le terrain.

Serge a écrit:

demander à un étudiant en sociologie (ou autre domaine) de faire sa thèse de maîtrise sur le déclin du naturisme au Québec

J'ai répondu aux questions d'une étudiante de l'Université Laval qui faisait une étude sur le naturisme il y a 3-4 ans. Bon, c'était un cours de niveau bacc, je crois, et je ne pense pas qu'il était question de l'avenir du naturisme. D'ailleurs, ce genre d'étude de cas intéresserait peut-être plus les gens de marketing. Je sais que j'ai reçu copie du travail terminé, mais je crains fort de l'avoir égaré. J'aurais dû le diffuser, mais c'était dans les mois suivant mon expulsion sauvage de la FQN et franchement, je n'avais pas trop le coeur à ça.

Pour faire avancer la cause du naturisme, moi, j’ai décidé que j’en parlerais ouvertement dans mon entourage ( collègues, parents , amis)  dès aujourd’hui dès que l’occa Se présente au lieu de rester muet comme avant. On pourrait être surpris ....sûrement d’aut Gens autour de nous apprécient cette pratique

En parler est en effet un moyen accessible et rapide pour faire une bonne publicité à notre pratique mais il faut ajouter presque obligatoirement une dimension didactique à notre aveu parce qu'autrement notre entourage risque de nous prendre pour un pervers à cause de la méconnaissance et les faussetés que le naturisme, le vrai, traine avec lui aujourd'hui.
Donc il faut prendre quelques minutes pour bien expliquer ce qu'est notre pratique afin de dissiper tout doute de partouze sur le sable ou de branlettes dans le bosquet dans l'esprit de gens que nous estimons.

A un niveau supérieur, on peut aussi s'impliquer concrètement sur le terrain, terrain virtuel ou réel. Ça va de la promotion du naturisme sur le web via nos réseaux sociaux par exemple en passant par du bénévolat pour un lieu ou un organisme, jusqu'au développement d'un petit coin naturiste pour sa région.

Rien n'arrive jamais les bras croisés, en bien comme en mal.
Les choses bougent parce que des gens les font bouger, en bien comme en mal.
Certains attendent et se contentent , d'autres on envie de résultats plus rapides. Tout dépend de la ferveur qu'un enjeu vous inspire... et de l'état d'urgence dans lequel vous jugez qu'il se trouve.