Bon été à la Pommerie, entre autres, avec un peu, beaucoup, de nostalgie!
Peut-être, si j'ai de la chance, j'y viendrai faire une dernière petite visite l'été prochain, maintenant que nous avons un gouvernement enclin à rendre au Québec sa dignité...
Incidemment, mes remarques sur "l'anglais, ça s'attrape" n'avaient rien de désobligeant : j'ai fait suffisamment de théâtre en Ontario pour savoir que l'anglais, le vrai, est une des langues les plus riches et les plus difficiles qui soient... dont deux premiers prix au Dominion Drama Festival et une "The Tempest" qui a jadis marqué l'University of Toronto Drama Club, dont je fus président, l'un des très rares "francophones" à avoir percé le blindage.